Venue sur une petite île bretonne pour oublier un passé douloureux, une femme médecin est confrontée à d'étranges phénomènes, se caractérisant par l'inquiétante désobéissance d'objets domestiques se retournant contre l'usager...
Un aventurier décide de participer à une course de voiture illégale à travers tout le pays. Les coureurs devront tout faire pour surmonter les difficultés (y compris la police) et gagner la course.
A travers l'image d'une femme berçant un enfant, quatre épisodes de l'intolérance sont racontés dans une fresque monumentale. Un épisode moderne sur un gréviste condamné à la pendaison. Un épisode biblique lors d'une noce à Cana. Un épisode des guerres de religion au temps de Charles IX. Un épisode chaldeen. Dans tous l'intolérance l'emporte sur l'amour.
La version de 1923 des Dix Commandements est composé de deux histoires : le prologue, de 40 minutes environ, met en scène la traversée de la Mer Rouge et Moise recevant les Dix Commandements sur le Mont Sinaï. Cette partie bénéficie d'une mise en scène fastueuse avec des milliers de figurants. Certains plans sont restés célèbres, notemment cette étonnante traversée de la Mer Rouge due aux trucages de Roy Pomeroy. La seconde partie, de 80 minutes environ, se passe à notre époque et montre deux frères dont l'un choisit de vivre dans l'irrespect des Dix Commendements. Moins intense, cette partie est plus conventionnelle, plus simple aussi. Les Dix Commandements est la première de ces superproductions bibliques de Ceci B. DeMille qui lui valurent toute sa renommée. Détail amusant, il eut l'idée de départ d'un simple participant à un concours de scénario qu'il avait organisé.
Alice White est la fille d'un commerçant londonien. Son petit ami, Frank Weber, est policier. Alice s'ennuie avec Frank et rencontre secrètement un autre homme, Tracy, qui tente de la violer. En se défendant, elle le tue avec un couteau de cuisine. Quand le corps est découvert, Frank est sur l'affaire et se rend compte qu'Alice a commis le crime. Et quelqu'un essaie de la faire chanter...
Lors de la Première Guerre mondiale, Paul Bäumer et ses amis allemands sont obligés de s'enrôler pour faire plaisir à leur professeur qui leur dit qu'il faut défendre sa patrie. Bien vite, les adolescents se rendent compte qu'il n'y a pas que des bons côtés à la guerre. Les médecins manquent et les blessés, s'ajoutant aux morts, finissent par mourir.
Au retour de Paul, le professeur qui a convaincu les jeunes de partir pour la guerre est en train d'en motiver d'autres. Paul lui déclare qu'il n'y a pas de bons côtés à la guerre et dit aux jeunes présents de ne pas écouter le professeur.
Figurante sans travail, la blonde Ann Darrow est engagée par le réalisateur Carl Denham pour être la vedette de son prochain film. Le Venture, le navire commandé par le capitaine Englehorn et qui comprend toute l'équipe, atteint Skull Island, une île mystérieuse où vivrait une créature légendaire vénérée par les indigènes et appelée King Kong.
Durant le voyage, Ann tombe amoureuse de John Driscoll, le second du bateau. Une fois débarqués, les explorateurs sont aussitôt repérés par les indigènes et font marche arrière. Mais ces derniers enlèvent Ann, la femme aux cheveux d'or, et l'attachent pour l'offrir en sacrifice à King Kong.
Au moment où ses compagnons arrivent pour la délivrer, un singe gigantesque saisit la jeune fille et disparaît dans la forêt. Denham et ses hommes se lancent alors à la poursuite de King Kong.
Ignorons un instant les atrocités de la Seconde Guerre mondiale et revenons quelques années en arrière, à l'époque d'une Allemagne nazie qui n'était pas encore synonyme d'holocauste et de plans insensés de domination mondiale, même si Mein Kampf en avait déjà suggéré les grandes lignes sans trop de subtilité. Dans un sens, Hitler fut le monstre inévitable que l'Europe créa par le Traité de Versailles en plongeant un pays entier dans une colère collective en leur faisant assumer la responsabilité de la Première Guerre mondiale, ce qui amena du même coup un affaiblissement fulgurant de l'économie nationale. Ce n'était finalement qu'une simple question de temps. Mais il faut tout de même reconnaitre que d'une certaine façon, Hitler et le parti national-socialiste à cette époque furent plutôt bénéfiques pour l'Allemagne, sortant le pays d'un gouffre économique qui semblait alors insurmontable tout en le lançant vers la modernité, ce qui aura beau fait de redonner espoir et fierté à une population qui, depuis un bon moment déjà, n'avait pas grand chose à contempler devant elle. Il n'est pas étonnant de ce fait que l'image que présente Triumph of the Will soit celle d'un peuple en adoration devant son chef. Relatant le sixième congrès annuel du parti nazi qui eut lieu à Nuremberg en 1934, ce film de propagande figurant parmi les plus célèbres de l'histoire tente d'exposer la droiture du système social sous la gouvernance d'Hitler et ainsi alimenter les passions tout en voilant au passage les pratiques politiques un peu plus axées sur la terreur de ce dernier. Hitler était évidemment comblé suite à la présentation de ce film qu'il qualifia de «glorification incomparable du pouvoir et de la beauté du mouvement nazi.» Mais il faut garder en tête qu'il s'agit bel et bien ici d'un film de propagande beaucoup plus qu'un documentaire, le but étant de faire état d'une Allemagne incontestablement forte, disciplinée et unie en célébrant la grandeur des édifices étatiques et sociaux. La cinéaste Leni Riefenstahl nous fait dès lors visiter les camps des jeunesses hitlériennes, mais étonnamment, son entreprise ne célèbre pas à ce point les institutions militaires du régime et glorifie plutôt les accomplissements civils. Triumph of the Will se compose principalement de différentes parades et rassemblements de foule gigantesques lors de l'inspection des troupes SA et des discours politiques des hauts dirigeants de l'état et, évidemment, d'Adolf Hitler, qui, sans tout révéler, exposent leurs idéologies d'une manière assez directe, ne cachant jamais l'édification d'un système totalitaire. L'enthousiasme suscité par ces annonces donne d'ailleurs froid dans le dos. Et à défaut d'être un exemple moral irréprochable, l'effort de Leni Riefenstahl propose une facture visuelle qui est en soi une réussite magistrale. Celle-ci fait part d'un flair visuel tout à fait hallucinant qui, grâce à un nombre gargantuesque de caméras, parvient à capturer la force et la présence des influences empiriques à travers les symboles de l'art nazi et une organisation civile minutieusement contrôlée. Sa mise en scène expose une finesse qui semble peindre une série de toiles dont la puissance des plans sert parfaitement les objectifs du film. Mais après un certain temps, cette glorification aussi insensée que passionnante a sévèrement tendance à tourner en rond. La seconde moitié de l'effort se concentre de cette façon presque uniquement sur la présentation d'une énorme parade qui, aussi superbement filmée puisse-t-elle être, parait franchement interminable. Il est inévitable que certains s'empresseront de condamner à nouveau le film de Leni Riefenstahl sans nécessairement l'avoir vu, croyant n'y trouver qu'une ?uvre incitant à la haine qui n'a tout simplement aucune raison d'être aujourd'hui. Dans les deux cas, c'est tout le contraire. Car quoi qu'on en pense, Triumph of the Will constitue maintenant une démonstration intimidante du système de propagande du régime national-socialiste qui, sans offrir le testament le plus franc et approfondi des politiques d'Adolf Hitler, permet de comprendre un peu mieux comment un peuple aura pu se laisser emporter dans des rouages politiques aussi égocentriques et haineux. L'importance d'une telle ?uvre de nos jours se manifeste dans la façon dont nous pouvons désormais l'approcher, le pamphlet de Rienfenstahl ne pouvant plus vraiment nous vendre ses idéaux douteux puisque nous avons l'avantage, contrairement au peuple allemand de l'époque, de connaitre les objectifs réels du nazisme. Triumph of the Will nous offre en ce sens à nous, gens du XXIe siècle, un regard d'une importance historique indéniable sur l'Allemagne des années 30 par le biais d'une entreprise esthétique exceptionnellement démesurée dont la force d'impact évidente à l'époque incite à un questionnement pour le moins fascinant sur ce qui fut pourtant un régime politique inexcusable.
Ignorons un instant les atrocités de la Seconde Guerre mondiale et revenons quelques années en arrière, à l'époque d'une Allemagne nazie qui n'était pas encore synonyme d'holocauste et de plans insensés de domination mondiale, même si Mein Kampf en avait déjà suggéré les grandes lignes sans trop de subtilité. Dans un sens, Hitler fut le monstre inévitable que l'Europe créa par le Traité de Versailles en plongeant un pays entier dans une colère collective en leur faisant assumer la responsabilité de la Première Guerre mondiale, ce qui amena du même coup un affaiblissement fulgurant de l'économie nationale. Ce n'était finalement qu'une simple question de temps. Mais il faut tout de même reconnaitre que d'une certaine façon, Hitler et le parti national-socialiste à cette époque furent plutôt bénéfiques pour l'Allemagne, sortant le pays d'un gouffre économique qui semblait alors insurmontable tout en le lançant vers la modernité, ce qui aura beau fait de redonner espoir et fierté à une population qui, depuis un bon moment déjà, n'avait pas grand chose à contempler devant elle.
Il n'est pas étonnant de ce fait que l'image que présente Triumph of the Will soit celle d'un peuple en adoration devant son chef. Relatant le sixième congrès annuel du parti nazi qui eut lieu à Nuremberg en 1934, ce film de propagande figurant parmi les plus célèbres de l'histoire tente d'exposer la droiture du système social sous la gouvernance d'Hitler et ainsi alimenter les passions tout en voilant au passage les pratiques politiques un peu plus axées sur la terreur de ce dernier. Hitler était évidemment comblé suite à la présentation de ce film qu'il qualifia de «glorification incomparable du pouvoir et de la beauté du mouvement nazi.» Mais il faut garder en tête qu'il s'agit bel et bien ici d'un film de propagande beaucoup plus qu'un documentaire, le but étant de faire état d'une Allemagne incontestablement forte, disciplinée et unie en célébrant la grandeur des édifices étatiques et sociaux. La cinéaste Leni Riefenstahl nous fait dès lors visiter les camps des jeunesses hitlériennes, mais étonnamment, son entreprise ne célèbre pas à ce point les institutions militaires du régime et glorifie plutôt les accomplissements civils.
Triumph of the Will se compose principalement de différentes parades et rassemblements de foule gigantesques lors de l'inspection des troupes SA et des discours politiques des hauts dirigeants de l'état et, évidemment, d'Adolf Hitler, qui, sans tout révéler, exposent leurs idéologies d'une manière assez directe, ne cachant jamais l'édification d'un système totalitaire. L'enthousiasme suscité par ces annonces donne d'ailleurs froid dans le dos. Et à défaut d'être un exemple moral irréprochable, l'effort de Leni Riefenstahl propose une facture visuelle qui est en soi une réussite magistrale. Celle-ci fait part d'un flair visuel tout à fait hallucinant qui, grâce à un nombre gargantuesque de caméras, parvient à capturer la force et la présence des influences empiriques à travers les symboles de l'art nazi et une organisation civile minutieusement contrôlée. Sa mise en scène expose une finesse qui semble peindre une série de toiles dont la puissance des plans sert parfaitement les objectifs du film. Mais après un certain temps, cette glorification aussi insensée que passionnante a sévèrement tendance à tourner en rond. La seconde moitié de l'effort se concentre de cette façon presque uniquement sur la présentation d'une énorme parade qui, aussi superbement filmée puisse-t-elle être, parait franchement interminable.
Il est inévitable que certains s'empresseront de condamner à nouveau le film de Leni Riefenstahl sans nécessairement l'avoir vu, croyant n'y trouver qu'une ?uvre incitant à la haine qui n'a tout simplement aucune raison d'être aujourd'hui. Dans les deux cas, c'est tout le contraire. Car quoi qu'on en pense, Triumph of the Will constitue maintenant une démonstration intimidante du système de propagande du régime national-socialiste qui, sans offrir le testament le plus franc et approfondi des politiques d'Adolf Hitler, permet de comprendre un peu mieux comment un peuple aura pu se laisser emporter dans des rouages politiques aussi égocentriques et haineux. L'importance d'une telle ?uvre de nos jours se manifeste dans la façon dont nous pouvons désormais l'approcher, le pamphlet de Rienfenstahl ne pouvant plus vraiment nous vendre ses idéaux douteux puisque nous avons l'avantage, contrairement au peuple allemand de l'époque, de connaitre les objectifs réels du nazisme. Triumph of the Will nous offre en ce sens à nous, gens du XXIe siècle, un regard d'une importance historique indéniable sur l'Allemagne des années 30 par le biais d'une entreprise esthétique exceptionnellement démesurée dont la force d'impact évidente à l'époque incite à un questionnement pour le moins fascinant sur ce qui fut pourtant un régime politique inexcusable.
Marmaduke Ruggles est un majordome tres sélect. Son maître serait un parfait gentleman s'il n'avait le vilain défaut de jouer au poker et de parier son majordome. Cette fois, c'est un couple de bourgeois américains qui l'emporte. Ruggles fait une entrée remarquée dans la petite ville de Red Gap.
Dave Mallory se fait dérober son invention par son ancien associé Ranger, propriétaire d'une usine fabriquant un système d'alarme. En dépit d'une santé chancelante, il invente un système plus perfectionné. Afin de pouvoir assurer l'avenir de sa fille Joan, Mallory vend ce nouveau système à la Ranger's moyennant un pourcentage sur les bénéfices. Mais il s'aperçoit que son ancien associé n'a aucunement l'intention de se servir de cette invention. Fou de rage, Mallory essaye de forcer Ranger à respecter les termes du contrat; il pénètre dans l'usine après avoir détruit l'efficacité du système d'alarme grâce à son appareil. Ranger, constatant que son entreprise périclite, charge Travers, son homme à tout faire, de persécuter Mallory. Des gangsters kidnappent Mallory afin de pouvoir utiliser son invention dans leurs cambriolages. Ils enlèvent, Joan, la fille de Mallory qui est alors obligé de céder à leur chantage. Bientôt, le gang terrorise la ville...
Edouard IV règne sur l'Angleterre du XVe siècle, après avoir dépossédé Henry VI du trône. Ses frères, Richard et Clarence, se disputent les richesses et les terres des Norwick, alliés au prince de Galles, fils de Henry VI. Richard tue le Prince de Galles et épouse sa veuve. Il fait exécuter Henry VI et réserve le même sort à Clarence.
C'est à Monte-Carlo que le richissime et séduisant veuf Maxim de Winter croise le chemin d'une jeune domestique qu'il ne tarde pas à séduire. Bientôt, ils se marient et retournent habiter dans le manoir de Manderley, demeure familiale de Winter, au sud de l'Angleterre. Très rapidement, dans cet endroit lugubre et froid, la nouvelle Mme. de Winter se confronte aux domestiques qui ne semblent guère l'apprécier. Surtout, c'est Mme. Danvers, la gouvernante, qui est la plus vindicative. Car depuis toujours, elle servait Rebecca, l'ex-femme de M. de Winter décédée un an plus tôt dans un accident. Son souvenir semble hanter le château...
A Casablanca, pendant la Seconde Guerre mondiale, le night-club le plus couru de la ville est tenu par Rick Blaine, un Américain en exil. Mais l'établissement sert également de refuge à ceux qui voudraient se procurer les papiers nécessaires pour quitter le pays. Lorsque Rick voit débarquer un soir le dissident politique Victor Laszlo et son épouse Ilsa, quelle n'est pas sa surprise de retrouver dans ces circonstances le grand amour de sa vie...
En 1940, un ouvrier américain est accus d'avoir saboté une usine d'armements. Aidé d'une jeune femme, il parcourt les Etats-Unis pour démasquer le véritable coupable, un agent nazi.
Le monstre de minuit : Le professeur Frederick Brenner mène une vie complexe. Au grand jour, il est un respectable universitaire, aimé de ses proches et de ses élèves. La nuit, il se fait appeler Karl Wagner et il s'occupe d'une soupe populaire dans le quartier misérable du Bowery. Ce philanthrope y accueille les vagabonds et leur offre des repas chauds ainsi qu'un peu de réconfort. Pourtant, Brenner a encore une troisième personnalité ! Une fois dans le bureau de sa mission, lequel contient un passage secret menant vers des pièces cachées et des souterrains, il devient l'impitoyable chef d'un gang de malfaiteurs, n'hésitant pas à recourir aux crimes les plus abjects pour mener à bien ses mauvais coups...
Traqué, Charlie Oakley se réfugie chez sa s?ur à Santa Rosa en Californie , où il retrouve sa nièce, qui porte le même prénom que lui, et qui lui voue une profonde admiration. Deux hommes le surveillent de près, semant le doute dans l'esprit de la jeune fille, qui finit par le suspecter d'être un tueur de riches veuves.
1942, aux Philippines. Un commando américain, dirigé par le capitaine Lassiter et le sergent Dane, a pour mission de faire sauter un pont et retarder ainsi la progression des troupes japonaises. Mais le surnombre de l'ennemi sera fatal aux américains: ils seront tous tués et le dernier, Dane, creusera sa propre tombe, tout en continuant à tirer sur les centaines de soldats Japonais qui se dirigent sur lui...
Peut-on trouver meilleur chien dans tout le Yorkshire ? Chaque jour , Lassie attend Joe à la sortie de l'école . Un jour , cependant , elle n'est pas là et Joe apprend la terrible nouvelle : lassie a été vendue par son père démuni . Âgée de 11 ans , Elizabeth Taylor , qui comprend Lassie mieux que les adultes et l'aide à s'enfuir du chenil .
Le perturbé docteur Friedrich Hohner, attaché comme médecin au célèbre Royal Théâtre pour prévenir et soigner les éventuels bobos des artistes en représentation, a tué dans une rageuse et fatale crise de jalousie, sa maîtresse attitrée, l'éminente et sculpturale Marcellina, une réputée chanteuse lyrique dont la prestation dans La Voix Magique resta pour tous, inoubliable et inégalée. Dix ans plus tard, une délicieuse novice, Angela Klatt, d'une finesse et d'une tessiture de voix identiques, a été reconnue et engagée par l'affable comte Seebruck, directeur du prestigieux établissement artistique. Sa présence et sa prestation sont même prévues pour reprendre le rôle mythique tenue par la défunte soprano disparue. Une situation impossible à gérer par notre médecin, insoupçonné dans la mort de Marcellina, mais qui ne peut accepter qu'on touche à l'oeuvre lyrique de cette dernière dont le corps repose, à l'insu de tous, dans un souterrain de l'illustre bâtiment, seulement connu par notre ténébreux et dément disciple d'Esculape, toujours en exercice. Aussi décide-t-il d'hypnotiser la belle et de la convaincre qu'elle ne peut plus chanter, au grand dam de son sympathique fiancé, le dynamique Franz Munzer. Une dramatique situation se met lentement en place...
Brandon Shaw et Philip Morgan sont deux étudiants. Dans leur appartement de New York, par un soir ordinaire, ils assassinent un de leurs camarades, David. Puis, comble du cynisme, ils préparent un dîner auquel sont conviées le soir même, sur le lieu du crime, la famille de la victime et sa petite amie. Parmi les invités se trouve également un de leurs professeurs, Rupert Cadell, qui, observant le comportement étrange des jeunes gens au cours de la soirée, va commencer à soupçonner l'impensable.
Deux étudiants en suppriment un troisième, pour la seule beauté du geste. Défi suprême, le meurtre précède de peu une soirée où ils reçoivent les parents de la victime et leur ancien professeur.
Un homme et son péché (1949) À son retour des chantiers Alexis Labranche reprend le défrichement de son lot. Malheureusement il perd au jeu l'argent dont il à besoin pour payer ses instruments aratoires . Son seul recours est d'emprunter la somme nécessaire à son vieil ennemi l'usurier Séraphin Poudrier qui a épousé Donalda Laloge , jadis sa promise . Malgré les efforts de ses amis pour l'aider à rencontrer l'échéance de l'emprunt , Alexis voit Séraphin s'emparer de son lot et doit partir ailleurs recommencer à neuf .
Séraphin (1950) À l'époque de la colonisation des Laurentides , l'avare Séraphin Poudrier exerce une influence oppressante sur les colons des Pays d'en Haut . Cependant , il connaît une suite de déboires. L'intervention du curé Labelle l'empêche de chasser Alexis de son nouveau lot . Après avoir perdu des bagues données en gage par Mlle Angélique , il doit lui verser cinq cent dollars . L'indien Wabo le fait tomber à l'eau et exige une récompense pour l'en tirer , Enfin sa soeur Délima vient réclamer sa part d'héritage .
Un champion de tennis est abordé dans un train par un inconnu qui lui propose un étrange marché : il supprime sa femme encombrante si celui-ci se charge d'éliminer son propre père. Croyant avoir à faire à un fou, le tennisman ne lui prête aucune attention. Peu de temps après, sa femme est assassinée...
Un immense objet inconnu est tombé près d'une station militaire américaine perdue dans les glaces polaires : c'est une soucoupe volante, dont une expédition amène un occupant congelé, un être végétal se reconstituant sans arrêt. Lorsqu'elle se réveille, la chose donnera raison aux militaires qui désiraient la détruire...
urore, 13 ans, subit brimades et vexations de la part de la seconde épouse de son père. Punie, battue, brûlée, incapable de compter sur un père faible et dominé par sa femme, elle mourra de ces mauvais traitements.
Alain de Malestroit a vu la femme qu'il adorait lui préférer son frère. Son amour s'est changé en haine apres la mort de la douce Hélène. Edmond de Malestroit, simulant la démence, est détenu depuis vingt ans dans les caves du château, sous la garde de Voltan. Alain conçoit, poursuivant son plan de vengeance, de marier sa nièce, Blanche.
Un champion de tennis rencontre dans un train un inconnu qui lui propose un marché bien spécial : il supprime sa femme envahissante si celui-ci se charge d'éliminer son propre père afin d'obtenir son héritage. Le joueur de tennis, pensant avoir affaire à un fou, laisse passer le marché et finit par l'oublier. Quelque temps plus tard, sa femme est assassinée?
Un champion de tennis est abordé dans un train par un inconnu qui lui propose un étrange marché : il supprime sa femme encombrante si celui-ci se charge d'éliminer son propre père. Croyant avoir à faire à un fou, le tennisman ne lui prête aucune attention. Peu de temps après, sa femme est assassinée...
Après une longue séparation, Blanche Dubois vient rejoindre sa soeur, Stella, à La Nouvelle-Orléans. Celle-ci vit avec son mari, Stanley, ouvrier d'origine polonaise, dans le vieux quartier français. Ce dernier n'apprécie guère les manières distinguées de Blanche et cherche à savoir quel a été le véritable passé de sa belle-soeur.